Budget Participatif 2023

Un budget pour nos projets

Étape 5 sur 5

Mise en œuvre des projets par la ville 01/01/2024 - 31/12/2025

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Changements sur "Améliorer le cadre de vie en intégrant l'art colombien au paysage, espaces verts urbains : favoriser son accès à tous dans une démarche éco-citoyenne."

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+{"fr"=>"Améliorer le cadre de vie en intégrant l'art colombien au paysage, espaces verts urbains : favoriser son accès à tous dans une démarche éco-citoyenne."}

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+["1- Des sculptures pour les espaces verts \n(Cf. Salon d'Art Contemporain de Colombes nov. 2020)\nDémarche artistique\n\"Nées des entrailles de la ville, des débris métalliques des chantiers urbains ou des déchets industriels produits en masse qui engloutissent notre monde dans une grisaille sombre, vouée à la rouille, à l'oxydation et à sa perte, les \"Ferrailles Poétiques\" insufflent une alternative.\nD'une main de fer, l'alchimie opère\nDe la récupération et de la transformation de cette matière métallique inerte et polluante s'éveillent des créatures éclectiques, hautes en couleurs, pleines de vie et de promesses ; drôles d'oiseaux, élégants échassiers, mammifères insolites ...\nL'un des défis majeurs de notre siècle est lancé : métamorphoser nos déchets urbains pour donner une chance à la vie. Compte à rebours !\"\nLes sculptures d' oiseaux (coulée verte, Lagravère) et de la chèvre (Moulin Joly)\n\n2- Des poèmes pour habiller et habiter la ville\nQuoi de mieux pour partager la parole poétique que d'afficher des poèmes susceptibles de résonner en chacun de nous, transformer les promenades en ballade poétique ?\n\nPoème-fleuve de la Promenade Bleue \n(publié revue littéraire Amis de Thalie ) \n\nSous le pont de Bezons, roucoule la Seine\nOù s'élance tout au long, comme une tyrolienne,\nLa Promenade Bleue.\nSous l'écorce des heures, glissent à tire d'aile,\nLes cyclistes heureux, flirtant avec le ciel,\nLe coeur clair, en roller.\nSur les rives du fleuve, fougueux, roulent les rêves,\nLes marcheurs font peau neuve,\nSe grisant des effluves à la caresse mauve...\nPrès du Parc Lagravère, courent bille-en-tête,\nLes sportifs, les athlètes\nS'entraînent et font leur preuve, d'une ténacité fauve.\nA l'écart des artères de la cité de verre\nLes enfants, les poètes\nCueillent un peu de vert, se désaltèrent de sève.\nAu coeur de l'île Marante,\nPrès de la maison penchée que le vieil arbre enlace,\nLes amoureux s'épanchent et partagent une glace.\nSur le grain des saisons, Chemin de l'île à Nanterre\nLes carrés potagers, mystères éphémères,\nSèment leurs jardins secrets.\nJusqu'à Rueil-Malmaison, sur le lit de la rivière\nNichent, gracieux, des cygnes.\nSur la ligne de fuite, les péniches s'éclipsent,\nOuvrent la perspective\nAux pêcheurs à la ligne, dans un clin d'œil furtif,\nDes artistes qui s'invitent Parc des Impressionnistes.\nSur le chemin de halage, la guinguette fait le guet,\nLes promeneurs du rivage\nSont prêts à l'abordage d'un vrai havre de paix.\nLa vie est un long fleuve tranquille...Parfois !"]

+["1- Des sculptures pour les espaces verts \n(Cf. Salon d'Art Contemporain de Colombes nov. 2020)\nDémarche artistique\n\"Nées des entrailles de la ville, des débris métalliques des chantiers urbains ou des déchets industriels produits en masse qui engloutissent notre monde dans une grisaille sombre, vouée à la rouille, à l'oxydation et à sa perte, les \"Ferrailles Poétiques\" insufflent une alternative.\nD'une main de fer, l'alchimie opère\nDe la récupération et de la transformation de cette matière métallique inerte et polluante s'éveillent des créatures éclectiques, hautes en couleurs, pleines de vie et de promesses ; drôles d'oiseaux, élégants échassiers, mammifères insolites ...\nL'un des défis majeurs de notre siècle est lancé : métamorphoser nos déchets urbains pour donner une chance à la vie. Compte à rebours !\"\nLes sculptures d' oiseaux (coulée verte, Lagravère) et de la chèvre (Moulin Joly)\n\n2- Des poèmes pour habiller et habiter la ville\nQuoi de mieux pour partager la parole poétique que d'afficher des poèmes susceptibles de résonner en chacun de nous, transformer les promenades en ballade poétique ?\n\nPoème-fleuve de la Promenade Bleue \n(publié revue littéraire Amis de Thalie ) \n\nSous le pont de Bezons, roucoule la Seine\nOù s'élance tout au long, comme une tyrolienne,\nLa Promenade Bleue.\nSous l'écorce des heures, glissent à tire d'aile,\nLes cyclistes heureux, flirtant avec le ciel,\nLe coeur clair, en roller.\nSur les rives du fleuve, fougueux, roulent les rêves,\nLes marcheurs font peau neuve,\nSe grisant des effluves à la caresse mauve...\nPrès du Parc Lagravère, courent bille-en-tête,\nLes sportifs, les athlètes\nS'entraînent et font leur preuve, d'une ténacité fauve.\nA l'écart des artères de la cité de verre\nLes enfants, les poètes\nCueillent un peu de vert, se désaltèrent de sève.\nAu coeur de l'île Marante,\nPrès de la maison penchée que le vieil arbre enlace,\nLes amoureux s'épanchent et partagent une glace.\nSur le grain des saisons, Chemin de l'île à Nanterre\nLes carrés potagers, mystères éphémères,\nSèment leurs jardins secrets.\nJusqu'à Rueil-Malmaison, sur le lit de la rivière\nNichent, gracieux, des cygnes.\nSur la ligne de fuite, les péniches s'éclipsent,\nOuvrent la perspective\nAux pêcheurs à la ligne, dans un clin d'œil furtif,\nDes artistes qui s'invitent Parc des Impressionnistes.\nSur le chemin de halage, la guinguette fait le guet,\nLes promeneurs du rivage\nSont prêts à l'abordage d'un vrai havre de paix.\nLa vie est un long fleuve tranquille...Parfois !"]

Suppressions

Ajouts

+["1- Des sculptures pour les espaces verts \n(Cf. Salon d'Art Contemporain de Colombes nov. 2020)\nDémarche artistique\n\"Nées des entrailles de la ville, des débris métalliques des chantiers urbains ou des déchets industriels produits en masse qui engloutissent notre monde dans une grisaille sombre, vouée à la rouille, à l'oxydation et à sa perte, les \"Ferrailles Poétiques\" insufflent une alternative.\nD'une main de fer, l'alchimie opère\nDe la récupération et de la transformation de cette matière métallique inerte et polluante s'éveillent des créatures éclectiques, hautes en couleurs, pleines de vie et de promesses ; drôles d'oiseaux, élégants échassiers, mammifères insolites ...\nL'un des défis majeurs de notre siècle est lancé : métamorphoser nos déchets urbains pour donner une chance à la vie. Compte à rebours !\"\nLes sculptures d' oiseaux (coulée verte, Lagravère) et de la chèvre (Moulin Joly)\n\n2- Des poèmes pour habiller et habiter la ville\nQuoi de mieux pour partager la parole poétique que d'afficher des poèmes susceptibles de résonner en chacun de nous, transformer les promenades en ballade poétique ?\n\nPoème-fleuve de la Promenade Bleue \n(publié revue littéraire Amis de Thalie ) \n\nSous le pont de Bezons, roucoule la Seine\nOù s'élance tout au long, comme une tyrolienne,\nLa Promenade Bleue.\nSous l'écorce des heures, glissent à tire d'aile,\nLes cyclistes heureux, flirtant avec le ciel,\nLe coeur clair, en roller.\nSur les rives du fleuve, fougueux, roulent les rêves,\nLes marcheurs font peau neuve,\nSe grisant des effluves à la caresse mauve...\nPrès du Parc Lagravère, courent bille-en-tête,\nLes sportifs, les athlètes\nS'entraînent et font leur preuve, d'une ténacité fauve.\nA l'écart des artères de la cité de verre\nLes enfants, les poètes\nCueillent un peu de vert, se désaltèrent de sève.\nAu coeur de l'île Marante,\nPrès de la maison penchée que le vieil arbre enlace,\nLes amoureux s'épanchent et partagent une glace.\nSur le grain des saisons, Chemin de l'île à Nanterre\nLes carrés potagers, mystères éphémères,\nSèment leurs jardins secrets.\nJusqu'à Rueil-Malmaison, sur le lit de la rivière\nNichent, gracieux, des cygnes.\nSur la ligne de fuite, les péniches s'éclipsent,\nOuvrent la perspective\nAux pêcheurs à la ligne, dans un clin d'œil furtif,\nDes artistes qui s'invitent Parc des Impressionnistes.\nSur le chemin de halage, la guinguette fait le guet,\nLes promeneurs du rivage\nSont prêts à l'abordage d'un vrai havre de paix.\nLa vie est un long fleuve tranquille...Parfois !"]

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+["1- Des sculptures pour les espaces verts \n(Cf. Salon d'Art Contemporain de Colombes nov. 2020)\nDémarche artistique\n\"Nées des entrailles de la ville, des débris métalliques des chantiers urbains ou des déchets industriels produits en masse qui engloutissent notre monde dans une grisaille sombre, vouée à la rouille, à l'oxydation et à sa perte, les \"Ferrailles Poétiques\" insufflent une alternative.\nD'une main de fer, l'alchimie opère\nDe la récupération et de la transformation de cette matière métallique inerte et polluante s'éveillent des créatures éclectiques, hautes en couleurs, pleines de vie et de promesses ; drôles d'oiseaux, élégants échassiers, mammifères insolites ...\nL'un des défis majeurs de notre siècle est lancé : métamorphoser nos déchets urbains pour donner une chance à la vie. Compte à rebours !\"\nLes sculptures d' oiseaux (coulée verte, Lagravère) et de la chèvre (Moulin Joly)\n\n2- Des poèmes pour habiller et habiter la ville\nQuoi de mieux pour partager la parole poétique que d'afficher des poèmes susceptibles de résonner en chacun de nous, transformer les promenades en ballade poétique ?\n\nPoème-fleuve de la Promenade Bleue \n(publié revue littéraire Amis de Thalie ) \n\nSous le pont de Bezons, roucoule la Seine\nOù s'élance tout au long, comme une tyrolienne,\nLa Promenade Bleue.\nSous l'écorce des heures, glissent à tire d'aile,\nLes cyclistes heureux, flirtant avec le ciel,\nLe coeur clair, en roller.\nSur les rives du fleuve, fougueux, roulent les rêves,\nLes marcheurs font peau neuve,\nSe grisant des effluves à la caresse mauve...\nPrès du Parc Lagravère, courent bille-en-tête,\nLes sportifs, les athlètes\nS'entraînent et font leur preuve, d'une ténacité fauve.\nA l'écart des artères de la cité de verre\nLes enfants, les poètes\nCueillent un peu de vert, se désaltèrent de sève.\nAu coeur de l'île Marante,\nPrès de la maison penchée que le vieil arbre enlace,\nLes amoureux s'épanchent et partagent une glace.\nSur le grain des saisons, Chemin de l'île à Nanterre\nLes carrés potagers, mystères éphémères,\nSèment leurs jardins secrets.\nJusqu'à Rueil-Malmaison, sur le lit de la rivière\nNichent, gracieux, des cygnes.\nSur la ligne de fuite, les péniches s'éclipsent,\nOuvrent la perspective\nAux pêcheurs à la ligne, dans un clin d'œil furtif,\nDes artistes qui s'invitent Parc des Impressionnistes.\nSur le chemin de halage, la guinguette fait le guet,\nLes promeneurs du rivage\nSont prêts à l'abordage d'un vrai havre de paix.\nLa vie est un long fleuve tranquille...Parfois !"]

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Auteur de la version

Cornelio

Version créée le 21/05/2023 20:08