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Cette proposition n'a pas été retenue parce que :

Bonjour Monsieur H. et merci de votre intérêt pour cette première saison du budget participatif. Après étude de votre proposition Végétalisation des petites voies résidentielles, il apparaît que celle-ci n'est pas recevable au titre du Budget Participatif et ne pourra malheureusement pas être soumis au vote des habitant.e.s. Un projet similaire est déjà prévu au cours du mandat municipal. En effet, sur inscription, la ville met en place le permis de végétaliser et met à disposition une parcelle de jardin partagé dans la continuité de la prairie du Moulin Joly.

Pour rappel :

L'article 05 du règlement prévoit en effet que le budget participatif doit être cohérent et compatible avec les réalisations en cours sur le territoire de la commune de Colombes.

Vous pouvez toujours participer aux différentes instances participatives de la ville tel que le conseil de quartier (mardi 21 septembre, 19h, école Victor Hugo au 58 rue des écoles).

Vous remerciant une nouvelle fois pour votre participation au Budget Participatif 2021 et comptant sur votre participation en 2022 avec un (ou des) nouveau(x) projet(s) pour participer à l’amélioration du cadre de vie des habitant.e.s.

Cordialement,


Perrine TRICARD

Adjointe au maire déléguée

à la démocratie locale et à la vie des quartiers

et Gestion Urbaine de Proximité

et

Mamadou KONTE

Conseiller municipal délégué

des budgets participatifs



Végétalisation des petites voies résidentielles

Avatar: JHD JHD Non retenue
Colombes dispose d'un maillage conséquent de petites voies (privées ou publiques) résidentielles, courtes et étroites, souvent appelées "avenues", débouchant essentiellement sur des pavillons/maisons individuelles ou de petits immeubles. Toutes les parcelles ne disposent pas de jardin, ou seulement de cours très minérales. De même, ces petites voies, ouvertes à la circulation des véhicules automobiles, ne disposent en général pas de trottoirs, alors même que nombre de familles et enfants y passent en permanence. Lorsque ces voies sont de pratiques "raccourcis" (même non autorisées, elles sont empruntées par tous type de véhicules), la vitesse atteinte par les véhicules peut y être dangereuse au regard de la configuration des lieux. Il est donc proposé de délivrer des "permis de végétaliser" aux habitants de ces petites rues, ainsi que de définir (charte, modèles, etc.) le type de jardinière (dimension, esthétique, matériaux...) ou de végétal autorisés que chaque habitant pourrait installer en bordure de sa propriété, sur l'espace disponible le long de sa parcelle. Il est évidemment impératif de permettre le passage des véhicules de secours, d'intervention ou de collecte des OM, dans ce cas la largeur des installations pourrait être déterminée en fonction des mobiliers installés sur chacune des voies (candélabres, poteaux ou panneaux...) qui déterminent d'ores et déjà les contraintes de circulation sur la voie. Outre le verdissement attendu, la contribution générale à déminéraliser (au moins visuellement) l'espace public, ces installations permettraient aussi de contribuer à limiter la vitesse de circulation des véhicules et à rendre ces petits linéaires plus agréables (souvent des lieux de promenade). Outre le respect du cadre fixé en termes de jardinière et de végétaux autorisés, l'obtention du permis de végétaliser pourrait se faire pour un an (renouvelable) avec engagement d'entretien des bacs par le titulaire du permis. Un tel dispositif permettrait d'associer les habitants de ses rues à la gestion de l'espace public, de les sensibiliser au-delà des limites de leurs propriétés, d'occuper utilement l'espace commun, sans en arriver au débitumage de ces linéaires autrement plus complexe (réseaux, limites de propriété/compétence de certaines voies, coût des travaux...). Une dotation des particuliers intéressés en jardinières et graines au moins pour les "pionniers" pourrait permettre d'amorcer la chose tout en la cadrant. Quid d'une labellisation des rues?

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